Bonjour,
Parmi la batterie de tests classiques pour évaluer la qualité objective d'un ampli on trouve les créneaux, la mesure de distorsion, de la bande passante...
Le hic, c'est que toutes ces mesures se font en régime permanent et avec un signal déterministe.
Alors il y a plus rarement les rafales où on porte son attention sur les transitions fort-faible, mais il faut avoir les séquences, synchroniser le scope...
Après avoir lu quelques article de Gérard Perrot, où il met l'accent sur la "stabilité" de la fonction de transfert de l'ampli, pourquoi ne pas faire une mesure sortie = f(entrée) sur l'ampli avec de la musique ?
On y voit tout : la tête et la queue de la bande passante, les overshoot, les saturations, les changement de pente de ladite fonction de transfert, le bruit...
Par contre, c'est très qualitatif, pas de chiffre à y mettre si ce n'est caresser l'idée que son ampli se comporte comme un gain pur en voyant un segment très fin se dessiner et s'étirer au rythme de la grosse caisse

!
J'aimerais avoir votre avis là dessus
