Bonjour Breizhau, bonjour à tous.
Merci à Serge de sa réponse. Amha, c'est avant tout la liaison qui est améliorée dans de grandes proportions, au prix du double de quincaillerie ! Le bruit est quasi annulé et c'est payant, surtout sur les entrées à bas niveau. D'ou l'utilisation en prise de son pour les micros par ex. Aux niveaux moyens (disons de l'ordre de quelques 10 è de V sur des impédances faibles), c'est un peu du luxe. Aux niveaux plus élevés cela devient plus intéressant, surtout si on a un peu d'harmonique 2 à annuler... (J'ai réalisé des modèles / excel qui montrent que l'on peut diviser par 10 voir plus la DHT d'un étage en passant au symétrique. Mais à quoi bon passer de 0.15 % à 0.02 % ou moins...)*
En résumé, si on a une source qui délivre un niveau élevé en symétrique, autant la traiter en symétrique, si, bien entendu, on à un PP en sortie. Pour les petits niveaux, et surtout si l'on à une source symétrique, on doit garder le symétrique pour les liaisons. A l'inverse, si on doit mettre des filtres (ex en multi amplification), il vaut mieuxfaire cela en non symétrique, sinon çà devient carrément exhorbitant.... D'ailleurs, les pré pré avec entrée XLR pour cellules à sortie symétriques (quasiment toutes les bonnes cellules) ont pratiquement tous un transfo en entrée pour....désymétriser et parfois un transfo en sortie 'ligne' pour resymétriser.
Cela dit, un RIAA à tubes en symétrique, c'est facile à concevoir...à cause de la pente réduite (6 db /o). Il faudra toutefois 6 triodes (3 doubles) par voie au minimum. Pour des pentes plus élevées et des alignements 'spéciaux', cela dépasse mes compétences (j'y avais déjà réfléchi sans trouver de solution miracle) ! On arrive vite à des usinagaz. Il faut bien rester simples, cela évite des déboires (et des frais) et c'est surement pour cela qu'on ne trouve pas facilement de filtres symétriques.
Voila le délire de mercredi.
Boujou à tout l'monde.
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