Eh ben !
Un peu de confusion tout au long de ce fil
La terminologie d'abord: deux tubes superposés ne sont pas nécessairement un SRPP.
Parmi les divers schémas cités, j'ai plus ou moins reconnu un "White Follower", un "Cascode", un Mu Follower" etc . . .
Tous fonctionnent différemment et possedent des carctéristiques propres qui les prédisposent à résoudre des problèmes différents.
Bien sûr, on ne pas appliquer les équations de l'un sur l'autre !
Ces équations supposent pour la plupart un tube "idéalisé" dont les paramètres (Rp, Mu) seraient constants.
Autrement dit, un tube "idéal" qui n'existe pas dans la réalité.
Elles ne sont pourtant pas sans intéret, mais il faut s'assurer qu'elles s'appliquent à la réalité.
Ce qui apparait immédiatement c'est qu'aucune ne tient compte des "limites" comme par exemple du courant et de la tension maximum que peut supporter le tube.
Je crois que ces équations ne devraient pas être utilisées pour concevoir l'étage " idéal" mais seulement pour vérifier et optimiser le fonctionnement d'un montage en acceptant les imperfections des composants.
Comme je n'ai pas non plus le courage de tout remettre à plat, je saute sur l'occasion que me donne Diafan dont le post vient d'arriver.
1- La réponse est dans la question:
Citation:
Cependant, si la capa de liaison est vraiment un élément actif et indispensable au swing du courant . . . .
La grille de la 5687 ne demande pas vraiment du
courant, seulement de la
tension.
2- Le signal étant prélevé sur l'anode de la 6072, cet étage n'est pas un SRPP, mais un simple cathode commune chargé par une (trés approximative) source de courant.
Les équations du SRPP ne peuvent pas s'appliquer.
Mr ONGAKU a réglé son problème de cette façon, sans doûtes pas par hasard.
Peu importe qu'il s'agisse ou non d'un "vrai" SRPP
Yves.