chanmix51 a écrit:
Mon hypothèse qui donnera lieue à la prochaine expérience est d'appliquer la même technique que pour les BF : avoir une bande passante électronique plus grande que celle offerte par les transfo de sortie afin que l'ampli puisse se corriger. Le schéma de l'ampli tel qu'il est avec les 6N2P présente un défaut à cause de l'effet Miller sur le tube d'entrée du coté de la CDiff. L'impédance de sortie de la CDiff est trop importante, l'ampli ne peut pas corriger en phase la bande passante étendue des transfo de Charlie… oscillation. L'idée est donc soit d'utiliser des pentodes en entrées, soit un µ-follower à tube sur la CDiff, solution plus complexe mais qui permet de protéger la CDiff du bruit d'alim. Ce n'est pas non plus hyper compatible avec une paire différentielle…
Amicalement,
Grégoire
Salut à tous et à Grégoire en particulier,
Tout d'abord que je vous dise que j'ai lu , re lu et re re lu tous les fils qui parlent de Cdiff depuis la première version de l'OTL circlotron d' Arnaud ( aka IRIAAX sur Audiyofan qu'on ne remerciera jamais assez ... ) et que cela fait donc plusieurs années que j'y pense .
Je commence enfin à avoir du temps à consacrer à ce sujet et on peut même dire que c'est commencé . Je vais ouvrir un fil pour détailler ça parce que je pars effectivement sur une version tout symétrique .
Mais je voudrais répondre ici à Grégoire sur le point précis qu'il aborde :
De ce que j'ai compris de mes lectures :
Deux problèmes :
La bande passante de l'ampli doit permettre aux corrections de la Cdiff de passer sous peine de devoir amputer le signal d'entrée en haut et en bas par des filtres avant de l'envoyer pour comparaison sur l'étage différentiateur . Après cela la Cdiff fonctionne en Contre réaction dans les zones amputées et l'objectif est raté de justesse.
Il faut donc ajuster au mieux les filtres à la bande passante effective de l'ampli (TS compris) sans correction . C'est avec ça que je me bats en ce moment .
Ensuite le signal de Cdiff doit pouvoir conserver la phase du signal d'entrée pour s'appliquer efficacement
au niveau de l'étage de l'ampli choisi pour son application , on ne parle pour l'instant que de l'étage d'entrée de l'ampli .
Je pense qu'une version symétrique de l'étage Cdiff est préférable pour un ampli à entrée symétrique. On peut éventuellement sortir le signal de correction entre les cathodes de cet étage si on a vraiment besoin d'une sortie basse impédance .
Mais je crois aussi que sur tout étage symétrique on est protégé du bruit d'alim , et je rappelle aussi que sur tout étage symétrique Mr Miller se traite très simplement par neutrodynage , y compris sur un Schmitt. ( j'ai l'impression d'avoir déjà dit çà au moins 5 ou 6 fois en diverses occasions sans que personne ne relève jamais cette option pourtant très connue ) .
Pour l'instant j'ai quelques difficultés à mettre au point un environnement de mesure sur un vieil ampli (push de 6V6 avec transfo supersonic W10).
Mon GBF n'a pas de sortie symétrique et je viens juste de penser à le remplacer par un ordinateur avec sortie sur carte externe USB suivie d'un DAC à sortie symétrique sur transfo.
Mais je sens que je vais avoir besoin de soutien.
A bientôt sur un fil dédié.