Bonsoir
L'ampli est équipé maintenant d'une correction différentielle. Après cet essais, je reste persuadé que l'ampli op reste la meilleure solution pour une cdiff. Comparateur par excellence, il permet de facilement régler le gain, facilement filtrer sur sa contre-réaction, est peu bruyant et a une impédance de sortie très basse.
Je n'ai pas modifié les constantes de temps de l'ampli, et malgré une bande passante basse assez haute, -3db à 8HZ, j'obtiens, avec la cdiff des carrés quasiment plats à 20HZ. Trop à mon avis, mais bon, ça démontre que des condos de liaisons monstrueux ne sont pas nécessaires. Je me pose même la question quand à une telle réponse avec les transfos d'entrée.
J'ai essayé avec un gain de 40, limite de l’instabilité, puis suis resté avec un gain de 35, ou le montage est parfaitement stable. Le facteur d'amortissement obtenu est de 40. Mesuré à 20HZ et 1KHZ.
La mesure en sortie est prise sur un des enroulements de cathode. La cdiff n'est pas symétrique, mais la prochaine le sera, avec un ampli op, ça ne coûte pas grand chose.
A l'écoute, le constat est le même que sur le DPP de GU17. La cdiff étant débrayable et l'ampli capable de fonctionner sans grâce à sa contre réaction de cathode, la différence est facilement audible. De nouveau, sur les baffles plans haut rendement, l'amélioration de l'image stéréo est la seule différence audible. Je testerai sur des boses 601, ou le seule ampli à tube capable de les driver était celui avec la cdiff.
Schéma, photos et réponses ajoutées dans le premier poste de ce topic
http://audiyofan.org/forum/viewtopic.php?f=60&t=9295
Serge