Bonjour, pour la visite en Auvergne, il faut que je consulte ma Brune....qui aimerait bien participer. Je te tiens au courant en MP pour les questions pratiques.
Pour revenir au sujet je résumerais ici nos discussions :
Le schéma (ce serait bon de le publier) comporte une pentode en entrée, montée en pentode et une tétrode en sortie, en UL.
Selon mon analyse, Mr René a polarisé la pentode d'entrée de façon à compenser les non linéarités de la finale. (Moins simple que cela paraît car celle ci est montée en UL

).
Il suggère de régler la résistante de cathode de l'étage d'entrée (donc le courant de repos - on pourrait aussi jouer sur la polar de G2

) et la résistance de fuite de grille de la finale, ce qui revient à modifier la charge d'anode de l'ampli de tension, donc sa courbe de transfert vu qu'on se promène pas loin du coude.
Cette méthode est sauf erreur inspirée d'auteurs Japonais et relève de l'horlogerie Suisse* mais c'est la première fois que la vois utilisée avec une tétrode en UL en finale. (Les Bretons m'étonneront toujours !)
D'où le besoin (?) de paufiner les valeurs en fonction des tubes et des autres générateurs de défauts. Fonctionner à proximité du coude d'une triode peut engendrer des soucis et augmente les écarts de caractéristiques entre tubes réels et data sheets

.
Pour préparer l'opération, je suggère de prévoir des potentiomètres à la place de la fuite de grille du final, ainsi que de la résistance de cathode ou de G2 pour chercher les meilleures valeurs et ensuite les mesurer puis remplacer par des résistances fixes, peut être les mêmes qu'au départ

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Une fois ceci réalisé, revoir la capa de liaison pour désengorger le TR de sortie

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L'opération devra être refaite en cas de changement de lampe d'entrée

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Pascal B
* Le coup de l'horlogerie Suisse, j'ai testé avec une 6P6S devant une 6S4S (reco piquée sur Audio Asylum)....çà marche super bien, mais entre triodes, c'est moins sportif

!