Hello à tous !
Je vois que ça phosphore sec

je vais tenter une explication du fameux FA = Gain de l'étage de correction.
La CR agit comme une boucle globale, elle boucle la sortie et l'entrée de l'ampli à corriger. Si une tension “parasite” apparaît sur la sortie alors ce parasite est multiplié par le gain de l'étage de CDiff et renvoyé vers le comparateur d'entrée ( le symétriseur ). Cela va naturellement diviser cette tension parasite par le gain de l'étage de correction
SI ET SEULEMENT SI le symétriseur est … symétrique

c'est à dire que le signal d'entrée et celui de la CDiff ont le même “poids” dans la tension de sortie du symétriseur.
Si on part de cette hypothèse, on vient de dire que les tensions parasites sur la sorties vont être divisées par le gain de l'étage de correction, donc toutes les DH mais aussi toute tension qui résulterait d'une intensité parasite traversant le secondaire du transformateur en parallèle de la charge … autrement dit le facteur d'amortissement. Si cependant, comme le dit Gérard, l'ampli présente un FA de 10 en boucle ouverte alors la CDiff avec un gain de 5 ne ferait rien car il n'y a rien à faire. Bon, en général les ampli à tubes ont un FA très faible en boucle ouverte.
Dans le cas de Totof et comme vous l'avez bien explicité, le gain de l'étage de CDiff est diminué par un symétriseur assymétrique c'est à dire que pour des entrées A & B, les sorties ne sont pas juste G×(B - A) et G×(A - B) mais G×(βB - αA) et G×(αA - βB) avec α > β donc le gain de la Cdiff est réduit d'un facteur α/β. Si on voulait faire un truc rigolo, ce serait plutôt d'intervertir l'entrée et la CDiff sur l'étage d'entrée ( entrée sur la 6N16B et la CDiff arrive sur la 6J7 ) ça ferait un FA de 34
Amicalement,
Grégoire