forr a écrit:
. . .
A moins d'1 Ohm d'impédance de sortie de la plupart des amplis, et plutôt 0.1 Ohm pour ceux à transistors, on considère celle-ci comme négligeable, la mise en parallèle d'un réseau RC de valeur classique en parallèle sur le HP n'a aucune incidence sensible sur la réponse du HP.
Les calculs sont du niveau de la physique enseignée au lycée, on peut ainsi quantifier la réalité du "jamais vrai".
Je ne me hasarderais pas à conclure que l'incidence sur la réponse du HP est nulle.
Un test classique et rapide de stabilité sur un ampli consiste à observer sa réponse à un signal carré en presence d'une charge réactive (un simple condensateur de 1µF en parallele sur une résistance idéale suffit).
Il est facile de constater l'apparition de surroscillations, voire parfois l'entrée en oscillation totale du système.
La raison essentielle en étant la perturbation des temps de réponse et de la stabilité de l'asservissement que constitue la contre réaction par ailleurs si utile pour abaisser l'impédance interne.
Bien entendu, c'est un défaut qu'il faut éliminer, souvent mission impossible si le transfo de sortie introduit déjà un déphasage trop important.
L'incidence sur la réponse en fréquence ne peut pas être nulle.
Ce phénomène est moins marqué avec un ampli sans contre réaction.
D'où certaines affirmations aussi péremptoires qu'erronées !
L'emploi de réseaux parallele (certains diront Zobel, d'autres Boucherot) permet au moins de ramener la charge vue par l'ampli dans le domaine du réèl.
Et toute modification du filtre devrait s'accompagner d'une modification approprié du (des) réseaux de "correction de phase".
Même les resaux de distribution électrique dont l'impédance est quasi nulle soufrent du cosinus phi.
Bon courage !
ezza a écrit:
et pour conclure
il serait temp que l'on metre au point un protocl de test.....en beton
pour en finir avec se Post
A+
Rien n'est plus trompeur que le béton !
Ca a l'air solide comme ça, pourtant . . .
"Le chêne un jour dit au roseau . . ."
Yves.